Alexander von Humboldt, Therese von Bacheracht, und die „verhängnissvolle Prosa des Lebens“.
DOI :
https://doi.org/10.18443/332Mots-clés :
Therese von Bacheracht; Wilhelm von Humboldt; Charlotte Diede; Tagesblätter Karl August Varnhagens von EnseRésumé
Zusammenfassung
Ausgehend von einem Brief Alexander von Humboldts an die Schriftstellerin Therese von Bacheracht (1804 – 1852) wird die Geschichte der Herausgabe der Briefe seines Bruders Wilhelm an Charlotte Diede im Jahr 1847, nach dem Tod beider Korrespondenten, nachgezeichnet. Besonders wird dabei auf die bisher unveröffentlichten „Tagesblätter“ Karl August Varnhagens von Ense zurückgegriffen, aus denen hervorgeht, dass Alexander von Humboldt seine anfangs ablehnende Haltung aufgibt, Varnhagen mit der Prüfung und Korrektur des Manuskripts betraut, und dass Therese von Bacheracht durch Hartnäckigkeit und Charme ihr Ziel erreicht, die nicht unbeträchtlichen Einnahmen aus der Veröffentlichung zugesprochen zu bekommen.
Abstract
Using a letter written by Alexander von Humboldt to the writer Therese von Bacheracht (1804 – 1852), this paper tells the story of how Humboldt’s brother Wilhelm’s letters to Charlotte Diede were published in 1847, after the death of both correspondents. The emphasis is placed on the hitherto unpublished daily journals (Tagesblätter) of Karl August Varnhagen von Ense. Not only do they show how gradually Alexander von Humboldt abandons his former adverse attitude towards the project, but also that he asks Varnhagen to proofread the manuscript and that, by perseverance and her charming attitude, Therese von Bacheracht succeeds in obtaining considerable profi ts from the publication of the letters.
Résumé
Sur la base d’une lettre d’Alexander von Humboldt à l’écrivain Therese von Bacheracht (1804 – 1852), on retrace l’histoire de la publication des lettres de son frère Wilhelm à Charlotte Diede en 1847, après la mort des deux correspondants. En particulier, on utilise les « Tagesblätter » inédits de Karl August Varnhagen von Ense, dont il ressort qu’Alexander von Humboldt renonce à son attitude initialement négative, confi e à Varnhagen la révision et la correction du manuscrit, et que Therese von Bacheracht avec persévérance et charme atteint leur objectif de se voir attribuer les revenus non négligeables de la publication.
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